La parabole du Bon Samaritain

 

Déroulement :

Accueil : Chant : “Voici un signe”

Accueil : recevoir un cadeau

Prévoir de fabriquer un gros paquet cadeau avec à l’intérieur des petits cadeaux

1.  Chaque enfant reçoit un cadeau/parchemin avec écrit dessus un message « Aime ton prochain comme toi-même ».

2. L’enfant lit son message.

1.A l’aide du diaporama représentant le passage de l’évangile (parabole du bon Samaritain), les enfants font une lecture de l’image et décrivent ce qu’ils voient (action, lieu, costumes, couleur…).

2. Lecture de l’Evangile Luc 10,25-37

ÉVANGILE de Luc 10,25-37

3. Mimer le récit du Bon Samaritain (si vous le pouvez)

4. Dialogue avec les enfants

pourquoi le geste est-il  encore plus fort parce qu’il est réalisé par un samaritain ?

A l’époque de Jésus, juifs et samaritains ne se fréquentent pas, pourtant, c’est bien un samaritain qui porte secours à l’homme blessé alors que le prêtre et le lévite, qui sont juifs, ont détourné le regard et passé leur chemin.

Comment cet homme a-t-il aimé son prochain ?

En lui portant secours, le soignant, et l’emmenant dans une auberge.

Comment nous-mêmes concrètement, pouvons-nous être de bons samaritains ?

A l’école, à la maison, dans notre groupe de caté, dans notre club de sport : donner des exemples.

Le faisons-nous facilement ? Est-ce difficile quelques fois ?

Connaissent-ils des personnes qui s’engagent pour leurs prochains et deviennent des Samaritains ?

 

Exemple :

Des personnes qui ne se disent pas chrétiennes, célèbres ou peu connues, soignent l’humanité blessée. Parfois elles se regroupent en association pour être plus efficaces (Médecin sans frontière, SAMU social, Restos du cœur, Croix Rouge, visiteurs de malades dans les hôpitaux, clowns dans les hôpitaux, les résistants qui ont sauvé des juifs durant la guerre, des bénévoles dans un foyer de jeunes en difficulté….).

Des chrétiens dans le monde ou tout près de chez nous secourent les gens malheureux : ils le font au nom de Jésus Christ. Comme Marie-Jo qui assurent la responsabilité d’une maison acquise par le Secours Catholique (le Prado) pour l’accueil en matinée, des sans-domicile fixe ; les hospitaliers de Lourdes qui prennent sur leur temps et financent leur voyage à Lourdes pour emmener des malades à Lourdes; Marie Claude de Boën qui rend régulièrement visite aux malades de la maison de retraite.

Des groupes d’Église agissent partout : le CCFD (Comité contre la faim et le développement) agit pour le développement économique des pays pauvres ; le Secours Catholique qui apportent une aide matérielle et humaine à des personnes en difficulté ; chaque année des jeunes de la JOC (Jeunesse Ouvrière Chrétienne) partent à la rencontre des jeunes en difficultés pour les aider à agir afin qu’ils puissent s’en sortir …

5. Conclusion

Cette histoire du bon samaritain nous intéresse encore aujourd’hui.

Tout homme est appelé, quand il rencontre un frère dans la détresse, à le secourir, à faire de ce malheureux son proche. Qu’ils soient chrétien ou non, étranger, malades….(dans Matthieu 25,35 à 45) Jésus a dit : « ce que vous avez fait au plus petit de mes frères, c’est à moi que vous l’avez fait ».

Par Jésus Christ, les chrétiens donnent sens à cette action : ils découvrent l’autre comme un frère en Jésus Christ. Nous sommes tous fils d’un même Père.

Le bon samaritain a amené l’homme blessé dans une auberge pour qu’il se soigne.

Cette auberge peut être aujourd’hui l’Eglise. L’Église qui est le signe de l’amour de Dieu pour l’humanité. Les chrétiens devraient toujours avoir une attitude pratique vis-à-vis des hommes.


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